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Les erreurs à éviter avec une pompe à chaleur (installation, usage, entretien)

📅 Publié le 20 Nov, 2025

Vous n’avez pas le temps de tout lire ? Voici l’essentiel à retenir :

Installer une pompe à chaleur est un excellent moyen de réduire ses factures et son impact environnemental, à condition d’éviter certaines erreurs qui peuvent ruiner ses performances. Mauvais dimensionnement, isolation insuffisante, emplacement mal choisi ou installation sans professionnel qualifié : ces erreurs compromettent confort, économies et durée de vie de l’appareil. Une mauvaise utilisation peut également faire grimper la consommation : température trop élevée, fonctionnement continu, absence de vigilance en cas d’alerte. Enfin, négliger l’entretien — professionnel ou courant — est l’une des principales causes de pannes et de baisse de rendement. Cet article vous guide à travers toutes les erreurs à éviter, de l’installation à l’usage quotidien, et montre comment un accompagnement professionnel permet d’en tirer le meilleur.

Installer une pompe à chaleur est une excellente initiative pour réduire vos factures de chauffage et votre empreinte carbone. Cependant, en tant qu’installateurs de pompes à chaleur chez Aquaclim Service, nous savons par expérience que certaines erreurs peuvent compromettre la performance et la longévité de votre équipement. Que ce soit lors de l’installation, dans l’utilisation quotidienne ou au niveau de l’entretien, il existe des pièges à éviter pour tirer le meilleur parti de votre pompe à chaleur. Entrons dans le vif du sujet sans détour : voici les principales erreurs à ne pas commettre avec une pompe à chaleur, et comment nous vous accompagnons pour les éviter.

Erreurs courantes lors de l’installation de la pompe à chaleur

Une installation de pompe à chaleur réussie ne s’improvise pas. Plusieurs écueils peuvent survenir dès la phase de choix du matériel et de pose. Voici les erreurs d’installation les plus fréquentes que nous vous aidons à éviter :

Négliger l’isolation de votre logement

Une pompe à chaleur, même très performante, ne donnera pas de bons résultats dans un logement mal isolé. Installer une PAC sans vérifier l’isolation thermique du bâtiment est l’erreur numéro un que nous rencontrons. Si votre maison laisse échapper la chaleur (toit, murs, fenêtres mal isolés), la PAC devra compenser en surfonctionnant, ce qui augmentera votre consommation d’électricité et vos factures. En effet, toute chaleur produite s’échappe rapidement dans un logement mal isolé, rendant la PAC inefficace.

Notre conseil : avant de poser une PAC, assurez-vous d’améliorer l’isolation de votre habitat. Isoler les combles, par exemple, peut réduire jusqu’à 30 % la consommation d’énergie d’une maison. Ces travaux d’isolation, vite rentabilisés grâce aux économies réalisées, garantissent que votre future pompe à chaleur fonctionnera dans des conditions optimales.

Mal dimensionner la puissance de la PAC

Choisir la bonne puissance de pompe à chaleur est crucial. Une erreur fréquente est d’installer une PAC surdimensionnée ou sous-dimensionnée par rapport aux besoins réels du foyer. Si l’appareil est trop puissant, il va chauffer trop vite et s’arrêter brutalement, enchaînant des cycles marche/arrêt courts qui entraînent une surconsommation d’énergie et une usure prématurée de la machine. Vous payerez plus cher à l’achat pour une puissance inutile, et la PAC s’usera plus vite. À l’inverse, un modèle trop petit ne couvrira pas vos besoins en chauffage : la maison restera froide par temps hivernal, et vous devrez faire fonctionner la PAC en continu à plein régime, ce qui use également l’appareil de façon anticipée.

Chez Aquaclim Service, nous réalisons systématiquement une étude thermique afin de déterminer la puissance de PAC idéale en fonction de votre isolation, de votre surface et de vos émetteurs. Un bon dimensionnement vous assure confort et économies, sans surcoût ni mauvaise surprise.

Choisir un type de pompe à chaleur inadapté

Il existe plusieurs types de pompes à chaleur (air/air, air/eau, géothermiques, hybrides…), et tous ne conviennent pas à chaque situation. Opter pour un modèle inadapté à votre climat ou à vos besoins est une erreur à éviter. Par exemple, certaines PAC air/air ou air/eau perdent en efficacité par grand froid et pourraient peiner si vous habitez une région aux hivers rigoureux. De même, une PAC air-air (climatisation réversible) ne produit que du chauffage d’air, alors qu’une PAC air-eau chauffe aussi l’eau de vos radiateurs et peut préparer l’eau chaude sanitaire. Si vous ne choisissez pas le bon type de PAC, vous risquez de ne pas couvrir tous vos besoins ou de consommer plus que prévu.

Notre accompagnement : nous vous conseillons sur le choix du modèle le plus adapté. Par exemple, pour un logement en climat très froid, nous préconisons des PAC adaptées basse température capables de maintenir leur rendement en dessous de 0°C. Si vous avez d’importants besoins en eau chaude, nous orienterons votre choix vers une PAC air/eau ou un système hybride, plutôt que vers une simple PAC air/air qui, elle, n’est pas éligible aux aides et pourrait nécessiter un chauffe-eau séparé.

Ignorer la compatibilité avec vos émetteurs de chauffage existants

Une erreur parfois négligée : ne pas vérifier que la nouvelle PAC sera compatible avec votre système de chauffage actuel. Si votre maison possède déjà des émetteurs (radiateurs, plancher chauffant), leur type influence le rendement de la PAC. Par exemple, des radiateurs haute température anciens ne sont pas optimisés pour fonctionner avec une PAC air/eau standard, ils demanderaient à la PAC de fournir de l’eau très chaude, ce qui réduit fortement son efficacité. Il serait dommage d’installer une pompe à chaleur qui n’atteint pas la performance attendue à cause de radiateurs inadaptés.

Nous veillons toujours à étudier votre installation existante. Selon les cas, il peut être nécessaire de remplacer certains radiateurs par des modèles basse température ou d’envisager un plancher chauffant. Si votre logement n’a pas de circuit de chauffage central (par exemple tout électrique à l’origine), il faudra l’installer ou opter pour une PAC air/air. Ne pas anticiper ces adaptations est une erreur qui peut coûter cher en modifications de dernière minute. Nous réalisons un bilan de compatibilité complet en amont pour éviter ce piège.

Mauvais emplacement de l’unité extérieure

L’unité extérieure d’une pompe à chaleur doit être placée à un endroit judicieux pour fonctionner correctement. Ici, la PAC est installée sur un support stable dans un jardin, à bonne distance des ouvertures, ce qui réduit les nuisances sonores et facilite la circulation d’air.

L’emplacement de l’unité extérieure joue un rôle clé pour les performances et la discrétion de votre pompe à chaleur. Un emplacement inadapté peut provoquer des nuisances sonores, une perte de rendement, voire des pannes prématurées. Nous choisissons avec vous l’endroit optimal, généralement à l’extérieur contre un mur solide ou sur une dalle, avec suffisamment d’espace autour pour une bonne ventilation. Quelques règles d’or :

  • Éloignez l’unité des chambres et de la clôture des voisins afin de limiter les nuisances sonores. Même les modèles récents font un léger bruit de ventilateur, il vaut mieux éviter de le percevoir dans les pièces de vie ou d’importuner le voisinage.
  • Choisissez un emplacement discret et abrité : idéalement à l’arrière de la maison ou dans un coin du jardin, et si possible à l’abri des vents dominants. Le vent fort peut forcer le ventilateur et causer des arrêts intempestifs, il est donc recommandé de protéger l’unité sans obstruer son souffle.
  • Évitez de l’orienter plein nord : en hiver, du givre se forme sur l’échangeur et la PAC enclenche des dégivrages. Si elle est face au nord, le givre sera plus fréquent et le dégivrage moins efficace. Une orientation au sud, est ou ouest réduira ce phénomène.
  • Respectez les distances réglementaires : par exemple, installez l’unité à quelques dizaines de centimètres du mur (pour la circulation d’air) et à plus de 3 mètres des fenêtres de vos voisins pour être en règle sur le plan acoustique.

Nous veillons à optimiser l’emplacement pour que votre pompe à chaleur soit performante et silencieuse. Un mauvais positionnement, au contraire, peut non seulement gêner tout le monde mais aussi altérer le rendement de l’appareil.

Installer la PAC sans faire appel à un professionnel qualifié (RGE)

Face aux nombreuses offres, on pourrait être tenté de poser sa pompe à chaleur soi-même ou de la confier au premier venu. C’est une erreur aux conséquences potentiellement graves. Une PAC est un équipement technique (circuits frigorifiques, régulations électriques complexes) qui doit être installé dans les règles de l’art par un professionnel certifié. D’ailleurs, seul un installateur agréé et qualifié RGE (Reconnu Garant de l’Environnement) permet de valider les garanties constructeur et de bénéficier des aides financières de l’État. Un installateur non qualifié risque de mal dimensionner ou mal raccorder l’appareil, compromettant son fonctionnement et votre sécurité.

Chez Aquaclim Service, nos techniciens sont certifiés RGE QualiPAC et formés aux dernières normes. Nous garantissons une installation conforme, y compris sur des points souvent négligés : vérification de l’installation électrique (tableau, protection différentiel), mise en service dans les règles et paramétrage initial optimal. Faire appel à un professionnel compétent, c’est l’assurance d’une PAC performante, sûre, et éligible aux subventionsr. Vous évitez ainsi les déconvenues et les coûts supplémentaires qu’une erreur de pose pourrait engendrer.

Ne penser qu’aux aides financières ou aux tendances du moment

Les généreuses aides à la rénovation énergétique (MaPrimeRénov’, primes CEE, TVA réduite, etc.) poussent de nombreux ménages à s’intéresser aux pompes à chaleurr. De même, la PAC connaît un engouement médiatique en tant qu’équipement écologique « à la mode ». Installer une pompe à chaleur uniquement pour profiter des aides ou parce que “tout le monde en parle” serait une erreur. Certes, les subventions peuvent financer une partie du projet, mais le choix d’une PAC doit avant tout correspondre à vos besoins réels et aux caractéristiques de votre logement. Par exemple, si vous disposez déjà d’un chauffage performant au gaz de ville, investir dans une PAC sans raison impérieuse pourrait ne pas être rentable.

Attention également : ne pas vérifier son éligibilité aux aides est tout aussi préjudiciable. Chaque dispositif a ses critères (revenus, type de logement, type de PAC installé, etc.). Par exemple, les PAC air-air ne sont pas éligibles aux principales aides nationales, ce qui laisse à votre charge l’intégralité du coût d’installation. Nous vous accompagnons pour monter les dossiers d’aide et vérifier à quelles subventions vous avez droit. Mais nous vous disons aussi honnêtement si, dans votre situation, une autre solution de chauffage serait plus judicieuse (par exemple une chaudière bois dans certains cas spécifiques). L’important est de choisir votre pompe à chaleur en toute connaissance de cause, pas seulement pour l’aide financière ou l’effet de mode.

Vouloir économiser sur la qualité du matériel

Dernière erreur lors de l’achat : chercher le prix le plus bas au détriment de la qualité et de la fiabilité. On trouve désormais des pompes à chaleur à des tarifs très variables, y compris des offres miraculeuses ou des marques inconnues. Méfiez-vous : une PAC très bon marché peut cacher une faible qualité de fabrication, un manque de support technique et des performances décevantesr. De plus, les marques exotiques ou peu répandues peuvent poser un problème plus tard : peu d’installateurs sauront les dépanner et les pièces détachées pourraient être difficiles à obtenir en cas de panne.

Notre recommandation est d’investir dans du matériel de marques reconnues (Mitsubishi, Daikin, Atlantic, Panasonic, etc.) qui ont fait leurs preuves. Ces modèles certifiés coûtent certes un peu plus cher à l’achat, mais vous y gagnerez en tranquillité d’esprit, en durée de vie et en efficacité. Nous négocions pour vous les meilleurs tarifs et promotions constructeurs, pour allier qualité et maîtrise de votre budget. En évitant le « bas de gamme », vous vous épargnez bien des soucis futurs.

Mauvaises habitudes d’usage à éviter avec une pompe à chaleur

Une fois votre pompe à chaleur installée dans les règles, encore faut-il l’utiliser correctement au quotidien. Là aussi, certaines erreurs d’utilisation peuvent diminuer les performances de votre PAC ou augmenter vos factures inutilement. Voici les mauvaises habitudes à bannir :

Mal régler la température et la programmation

La programmation de votre pompe à chaleur doit être adaptée à votre confort sans exagération. Nous constatons que beaucoup d’utilisateurs règlent une température trop élevée ou manipulent trop souvent leur thermostat, ce qui engendre des surconsommations. Inutile, par exemple, de chauffer à 23°C en permanence : en France, il est conseillé de cibler 19°C dans les pièces à vivre pour allier confort et sobriété. Chaque degré supplémentaire peut augmenter notablement la consommation d’électricité. Évitez également les écarts trop brutaux et fréquents – monter puis baisser la température sans arrêt désoriente la régulation de la PAC et la fait fonctionner plus qu’il ne faudrait.

Nous vous aidons à programmer intelligemment votre chauffage : maintien d’une température modérée en journée, légère baisse la nuit ou en cas d’absence, utilisation d’un thermostat connecté programmable si possible. Suivez toujours les recommandations du fabricant pour les réglages de courbe de chauffe, les modes éco, etc., car ils sont optimisés pour votre appareil. Enfin, évitez d’abuser du mode « Boost » ou « Chauffage rapide » sur de longues durées : ce mode force la machine à fond et peut consommer beaucoup si on l’utilise en continu. Mieux vaut anticiper un peu et laisser la PAC monter progressivement en température plutôt que de solliciter constamment le mode forcé.

Faire fonctionner la PAC en continu, même sans besoin

Contrairement à un vieux convecteur électrique, une pompe à chaleur n’a pas besoin de tourner 24h/24. Il s’agit d’une machine intelligente qui s’arrête dès que la température de consigne est atteinte, puis redémarre quand nécessaire. L’erreur ici serait de forcer son fonctionnement continu par peur d’avoir froid ou en pensant mal faire. Si votre PAC est bien dimensionnée, faites-lui confiance : inutile de la laisser en marche forcée permanente. Au contraire, un fonctionnement non-stop peut entraîner une usure prématurée du compresseur et une surconsommation d’énergie.

À l’inverse, éteindre complètement votre PAC pendant de longues périodes en hiver n’est pas recommandé non plus (sauf absence prolongée) – elle perdrait l’avantage de maintenir une base de chaleur et risquerait de devoir consommer davantage pour tout relancer. La clé est dans l’équilibre : laissez la pompe à chaleur réguler seule en mode automatique. Elle adaptera son temps de fonctionnement en fonction des besoins réels, surtout si un thermostat gère les démarrages. En cas d’absence de plusieurs jours, abaissez simplement la consigne (mode hors-gel par exemple) au lieu de tout couper. Vous éviterez ainsi les cycles inutiles et prolongerez la durée de vie de votre système.

Ne pas prêter attention aux signes d’alerte

Une pompe à chaleur bien utilisée au quotidien nécessite aussi un minimum de vigilance. Ignorer les signaux d’alerte que peut donner votre PAC est une erreur qui peut coûter cher. Par exemple, si vous entendez un bruit inhabituel (vibration, sifflement, choc métallique) ou si vous constatez un message d’erreur sur le thermostat, n’attendez pas que la situation empire. Un bruit anormal peut révéler un ventilateur déséquilibré, une pièce usée ou un débris coincé, des problèmes qui, s’ils ne sont pas traités, risquent d’endommager votre appareil. De même, si votre PAC chauffe moins bien qu’avant ou consomme anormalement plus, cela doit vous alerter.

Notre équipe reste à votre disposition pour inspecter rapidement tout dysfonctionnement. Souvent, intervenir tôt permet d’éviter la panne complète. Rester attentif aux bruits et aux performances de l’équipement permet d’anticiper une éventuelle panne et d’agir en prévention. En résumé, soyez à l’écoute de votre pompe à chaleur : c’est un système sophistiqué, mais qui donne des signes en cas de souci. Une utilisation sereine passe par cette attention minimale, gage de sécurité et d’économies à long terme.

Entretien de la pompe à chaleur : erreurs à ne pas commettre

Comme tout système de chauffage, une pompe à chaleur a besoin d’un entretien régulier pour rester efficace et fiable. Voici les erreurs en matière d’entretien que nous vous aidons à éviter :

Faire l’impasse sur l’entretien professionnel régulier

Ne pas faire réviser sa pompe à chaleur est sans doute l’erreur la plus grave en termes d’entretien. En France, la loi impose désormais une visite d’entretien au moins tous les deux ans par un professionnel agréé pour les PAC de 4 à 70 kW Au-delà de l’obligation légale, cette maintenance périodique est cruciale : une PAC mal entretenue voit son rendement baisser et risque plus de tomber en panne. Sans contrôle, de petites anomalies (niveau de fluide frigorigène trop bas, filtre encrassé, pièces usées) peuvent passer inaperçues et dégénérer en pannes coûteuses.

Nous proposons des contrats d’entretien adaptés pour vos pompes à chaleur, avec visites programmées par nos techniciens qualifiés. Lors de ces contrôles, nous vérifions l’étanchéité du circuit frigorifique, nettoyons les échangeurs, contrôlons les paramètres de fonctionnement et effectuons les réglages nécessaires. Cela garantit non seulement de respecter la réglementation, mais aussi de prolonger la durée de vie de votre installation. Faire l’impasse sur ces visites, c’est prendre le risque d’une perte de performance progressive et de mauvaises surprises en hiver. Au contraire, un entretien régulier optimise les performances énergétiques de la PAC et prévient les dysfonctionnements. Ne négligez pas votre PAC : pensez à la faire réviser, tout comme vous le feriez pour votre voiture.

Négliger le nettoyage et l’entretien courant

En plus des visites biannuelles par un pro, un minimum d’entretien courant doit être assuré par l’utilisateur. Oublier ces gestes simples est une erreur facile à éviter. Concrètement, nous conseillons à nos clients de nettoyer ou faire nettoyer régulièrement certains éléments :

  • Filtres internes : si vous avez une PAC air/air (climatisation réversible) ou une unité intérieure pour PAC air/eau, les filtres à air se chargent de poussière. Les nettoyer tous les 2 à 3 mois assure une bonne circulation de l’air et évite de sursolliciter le ventilateur. Un filtre colmaté peut réduire l’efficacité et augmenter la consommation.
  • Unité extérieure : vérifiez tous les quelques mois, surtout à l’automne, que le ventilateur extérieur n’est pas obstrué par des feuilles, du pollen ou des débris. Coupez l’alimentation et ôtez délicatement les feuilles mortes autour de l’unité. Veillez aussi à ce que l’échangeur (grille) soit propre. Un simple dépoussiérage léger peut faire une différence.
  • Circuit hydraulique : pour les PAC air/eau, contrôlez la pression du circuit de chauffage sur le manomètre de temps en temps. Si la pression chute anormalement, il peut y avoir une micro-fuite à faire réparer. Pensez aussi à purger vos radiateurs une fois par an, avant l’hiver, pour éliminer l’air dans le circuit.
  • En hiver : ne laissez pas la neige ensevelir l’unité extérieure en cas de fortes chutes. Déneigez autour de l’appareil pour lui permettre de bien aspirer l’air. Par grand gel, ne coupez pas totalement la PAC afin d’éviter le gel du fluide dans les tuyaux.

Ces gestes d’entretien courant sont simples et ne prennent que quelques minutes, mais beaucoup de propriétaires les oublient. Une PAC propre et bien entretenue offrira un rendement optimal et un air sain, et vous évitera d’avoir à solliciter trop souvent le service dépannage. En cas de doute sur une manipulation, mieux vaut nous appeler : ne vous aventurez pas à “bricoler” le circuit frigorifique vous-même (c’est dangereux et réservé aux pros certifiés). En résumé, un entretien régulier, professionnel et utilisateur, est la clé pour éviter les pannes et prolonger la durée de vie de votre pompe à chaleur.En conclusion, une pompe à chaleur est un formidable outil de confort et d’économies d’énergie à condition d’éviter ces erreurs d’installation, d’usage et d’entretien. Chez Aquaclim Service, nous mettons un point d’honneur à vous accompagner à chaque étape : du choix du modèle à l’installation professionnelle, en passant par les conseils d’utilisation et la maintenance. Notre expertise RGE est là pour vous assurer une PAC fiable, performante et durable. En évitant les pièges courants et en adoptant les bonnes pratiques, votre pompe à chaleur vous donnera entière satisfaction pendant de longues années, et nous serons toujours à vos côtés pour y veiller. ✅

Le mot du gérant

Je suis Ronan Olivin, associé-gérant d’Aquaclim Service, votre spécialiste en rénovation énergétique en Bretagne Sud. Depuis 2009, notre équipe de plus de 80 collaborateurs répartis sur nos agences de Lorient, Quimper et La Roche-Bernard s’engage à transformer votre habitat en un lieu confortable, éco-responsable et économe en énergie.

Nous vous accompagnons à chaque étape de votre projet, depuis l’étude personnalisée jusqu’à l’installation et la maintenance de vos équipements.